Elève-ingénieur aux Arts et Métiers, spécialisé en énergies renouvelables, problématiques de recyclage et développement durable, je m’apprête à entrer dans la vie active.

 

J’ai participé à la précédente édition du 4L Trophy avec un camarade de classe. Cette aventure nous a complètement transformés ; c’est pourquoi j’ai décidé de renouveler l’expérience avec mon frère cette année.

 

Le 4L Trophy c’est tout d’abord une ambiance incroyable. Je me souviens sur le village départ, à Biarritz, de ces centaines de 4L garées les unes à côté des autres, et de l’impatience de chaque équipage à prendre la route pour le désert.

 

Le 4L Trophy c’est aussi quelques galères. Par exemple l’année dernière, nous avons cassé notre alternateur avant même d’arriver au Maroc. Des ennuis de courte durée, car la solidarité entre les Trophyistes n’est pas qu’une légende, de même que le dévouement des équipes de mécaniciens qui travaillent bénévolement jours et nuits pour que nos petits bolides puissent continuer la course.

 

Le 4L Trophy, c’est enfin des rencontres inoubliables. Lors de la remise des dons, nous avons pu rencontrer les enfants à qui sont destinées les fournitures scolaires et sportives. Nous avons aussi pu échanger longuement avec des berbères, qui nous ont éclairé sur leur mode de vie, et qui nous ont conforté dans l’idée que notre action n’est pas un coup d’épée dans l’eau, et apporte une aide réelle aux populations locales.